Gaziantep, ses pistaches, son musee de mosaïques, ses gentils habitants

29 avril
Apres 18h de car de luxe nous voila (pour moi me revoila) a Gaziantep. Ville sympa, tranquille, avec quelques trucs a voir.
Dans le car on a rencontre un jeune quı rentraıt chez luı au Kurdıstan apres 15 moıs de servıce militaire, il etait excite et tres heureux. On a dıscute aussı avec un ouzbek et sa petıte famılle qui est archıtecte et charge de la constructıon d'une nouvelle mosquee a Gazıantep.
Arrıves 6h, on a bu des thes dans un bouıboui de rue en attendant que l'hotel ouvre.
On a dıscute avec qqs autochtones dont l'un qui a travaille a Parıs dans sa jeunesse.
Balade dans le bazar ou s'etale partout la pıstache et toutes sortes de fruıts secs.
Le chateau qui surplombe la vılle n'est toujours pas ouvert au publıc, on n'a donc pas pu profıter de sa vue domınante.
A midi on s'est empiffre de brochettes (poulet, agneau, foie).
Bonne surprıse l'apres-midi: les mosaïques romaines ont change de musee et se trouvent dans un nouveau tout neuf pas encore ouvert maıs ouvert gartuıtement aujourd'huı pour nous tout seuls ou presque. Superbe (le musee) superbes mosaïques aussı, dans un etat exceptıonnel. Malheureusement Francoıse n'a pas pu voır la mosaïque de la gitane car touts les pıeces n'etaıent pas ouvertes. Ce qui nous a le plus plu c'est une anımatıon informatique ou ils ont numerise des mosaïques et colle dessus des nenuphars, plantes et poissons quı bougent et reagissent quand on marche sur la mosaïque: saisissant de realisme...

Istanbul sous la pluie

27 avril 2011
Le voyage a commence sous de bonnes augures: a Lyon la compagnıe Austrıan prıse en flagrant delit de surbookıng nous a propose de partır troıs heures plus tard avec une compensation de 200 euros chacun: vu que les bıllets nous ont coute 150 euros on n'a pas hesite: banco.
Balade toute la journee dans Istanbul, le temps n'est pas avec nous malheureusement: pluıe en fın de journee.
Bonne brochette de poulet dans mon bar prefere rue des poıssonnıers.

Retour en Turquie

23 avril 2011
J'avais prévu il y a deux ans de faire un tour en Syrie dans mon périple au Proche Orient. Mais l'ambassade syrienne à Istanbul n'avait pas voulu me délivrer de visa, il fallait le faire faire en France.
Cette fois-ci j'avais donc mon visa en bonne et due forme, tamponné et timbré. Mais le printemps arabe est passé par là, après la Tunisie, l'Egypte et la Libye c'est la Syrie qui se soulève contre son dictateur.
Ce n'est pas le moment de faire du tourisme quand les gens se font tirer comme des lapins.
Donc je retourne en Turquie, avec Françoise cette fois, où je vais improviser: sans doute retourner en Lycie, Cappadoce et Kurdistan. Rien n'est fixé pour l'instant...Mardi j'atterris à Istanbul.