23/12/2009

Varkala, plage de reve...

Jeudi 24

RAS. Plage. Le soir je m'offre 6 gambas exceptionnellement bien grillées au barbequeue, sans sauce. 1,50 pièce, pourquoi s'en priver. Ces Indiens sont étranges, ils sont accros à l'argent, nous harcèle tout le temps pour qu'on entre dans leur magasin ou leur restau, mais quand on est entré ils deviennent incompétents: on doit en moyenne attendre 20 à 30 mn entre la commande et le service du repas, mais çà ne leur vient pas à l'idée de proposer un en-cas en attendant, de facturer un petit quelque chose puisqu'on est là à attendre bêtement. Plus fort, au moment de l'addition ils se trompent souvent, en leur défaveur (hier ils ont oublié un cocktail que j'avais pris avant le repas ('sex on the beach', ne pas rire), aujourd'hui c'est carrément 2 bières et un "vegetable cutlet (très bon d'ailleurs) que le serveur oubliait (j'étais le seul client en plus). Pour les pourboires, je n'ai toujours pas compris, ils ne montrent aucune satisfaction si on en laisse, ni rancune si on n'en laisse pas, aussi je ne laisse plus que 10 ou 20 roupies dans les restaus si la note dépasse 200R.
Noël, noël....


Mercredi 23

Ras.Plage,restau. Les vacances quoi. Jingle bells, jingle bells...


Mardi 22

La grève des tuktuks continue, c'est un employé de l'hôtel qui m'emmène à la gare sur sa moto.
Une demi-heure de trajet et j'arrive à Varkala City. Un chauffeur de tuktuk (ils ne font plus grève ici) m'aborde et compte m'emmener à une adresse où il aura une commission, mais je reste ferme, je lui demande de me déposer au nord de la falaise de Varkala Beach et de partir.
J'attaque la recherche de guesthouse mais pas longtemps, un couple d'allemands me conseille la leur, à deux pas. Ok, 500R, chambre spacieuse avec balcon donnant sur jardin, à l'écart du passage. Varkala Beach m'enchante immédiatement, c'est un bord de falaise où s'alignent restaus et boutiques sur une paire de kilomètres, avec deux plages en bas. Cà me rappelle Dahab au bord de la Mer Rouge, même genre de station balnéaire créée par les hippies et maintenant très embourgeoisée, mais gardant quelques caractéristiques conviviales (terrasses face au soleil couchant,
musique reggae et rock, essais de décorations originales, boutiques d'échange de livres, bières et cocktails partout).
Je m'offre un poisson au barbequeue, j'insiste pour qu'ils ne mettent aucune sauce comme ils font d'habitude, je le veux nature: raté, ils l'ont cuit dans une feuille de bananier. Goûteux, mais ce n'est pas ce que j'espérais (220R).

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