30/01/2010

Goa, la plage

Mardi 2

Les plaques s'estompent, plus de diarhhée, fièvre toujours présente mais moins forte.
Je fais un petit jogging de bon matin sur le sable humide, mais c`est dur, je continue une heure en marchant.
Je bronze et fais trempette. Çà baigne.

Lundi 1 février

Toujours patraque, je reste tranquille, bain de soleil et baignade.

Dimanche 31

Je me réveille avec une petite fièvre et les plaques rouges sont toujours là. Je suspecte fortement le chorizo. Je prends le bus pour Colva où un employé de l'hôtel m'attend pour m'amener à l'hôtel (la classe!).
La chambre est dans un bungalow à l'écart des autres, bien pour la tranquillité mais pas pour attaquer des relations de voisinage avec les russes (il n'y a que çà ici, plus quelques retraités anglophones ou français que j'évite soigneusement).
Bain de soleil et de mer, la plage est proche de la perfection, propre, composée de sable blanc fin comme de la farine, la température de l'eau est parfaite, pas trop chaude, elle permet de se rafraichir. Comme on est à un kilomètre de l'accès voiture (Colva), il n' y a presque personne. Malheureusement ma bactérie maligne continue son travail, je suis pris d'une forte diarrhée alors que je me promène dans Colva en fin d'après-midi. J'attaque un régime riz-banane-immodium (un gin tonic aussi, je ne sais pourquoi mais je sens que çà me fera du bien).

Samedi 30

Repos et détente. Je vais me faire raser pendant qu'un couturier me fait un ourlet à mon nouveau jean.
Balade dans le marché couvert de Margao, seule attraction touristique de la ville.
Je file ensuite à Colva, la plage la plus proche. J'ai un bon feeling, nonobstant le commentaire de Lonely Planet. Je marche une partie de l'après midi sur la plage entre Colva et Benaulim (que je sens moins). Entre les deux villages il y a un hôtel carrément en bord de mer avec une plage très propre et personne. Je me laisse tenter et réserve pour les deux jours à venir.
Le soir je retourne au restau "Venice" où j'avais bien mangé. Je mange encore bien (riz au chorizo et crevettes sauce piquante) mais ils tentent de m'arnaquer sur l'addition. Ils ne savent pas à qui ils ont à faire, je mémorise toujours le total quand je commande. Du coup ils me font payer moins que ce que je dois... Mais bon, c'est chiant d'être toujours sur ses gardes.
Rentré à l`hotel je m`apercois que j`ai des plaques rouges sur les bras et le dos: le chorizo?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire